Notre corps donne l’heure juste.

Quand un caillou entre malencontreusement dans notre chaussure, nous ressentons tout de suite une gêne, un mal-aise alors pour rétablir notre état naturel d’aise, nous nous baissons pour enlever ce caillou qui nous gêne.

Il ne nous viendrait pas à l’idée de réclamer à notre maman ou à notre petit(e) ami(e) et encore moins au « gouvernement » d’enlever le caillou qui s’est glissé dans notre chaussure n’est-ce pas ? Nous nous penchons pour enlever ce caillou qui nous gêne. Il ne nous viendrait pas à l’idée non plus d’accuser le caillou de sa perfidie, nous nous penchons pour enlever le caillou.

Mais nous pouvons tout aussi bien ignorer le signal envoyé par notre corps et faire « comme si » le caillou n’était pas là. N’est-ce pas,que nous avons tous au moins une fois fait ça un jour avec un « caillou » dans notre chaussure ? Alors, plus nous faisons comme si le caillou n’existait pas, plus, avec le temps qui passe, le caillou nous fait mal, jusqu’à ce que le caillou devienne « plus gros » qu’il n’est en réalité.

C’est exactement ce qui se passe avec les situations qui provoquent un malaise en nous, plus nous attendons pour répondre au signal de quelque chose qui nous gêne, plus nous faisons « comme si » la situation n’existait pas, plus elle nous fait mal ce qui nous rend la situation plus grande qu’elle n’était initialement.

Autrement dit, en nous envoyant un SIGNAL de mal-aise, le corps a parfaitement rempli sa mission mais nous avons refusé de l’écouter.

Quand notre organisme a besoin de nutriments, notre corps nous envoie le signal qu’il est temps de nous nourrir.

Quand notre organisme a besoin d’eau (80% de sa composition), notre corps nous envoie le signal qu’il est temps de nous désaltérer.

Quand nous sommes fatigués, notre corps nous envoie le signal qu’il est temps de prendre du repos.

La santé est une responsabilité personnelle

 

Comme dans le cas du caillou dans la chaussure ou de toute situation qui provoque un mal aise en nous, nous avons la possibilité de répondre ou de ne pas répondre aux signaux que notre corps nous envoie.

Nous avons le choix de ne pas répondre au signal de nous nourrir ou inversement de dépasser le signal de satiété.

Nous avons le choix d’entendre de nous reposer ou de refuser d’entendre le signal donné par le corps de nous reposer (pour toutes sortes de raisons, parce que nous devons rendre un travail urgent etc. ).

Nous avons le choix, la RESPONSABILITÉ de continuer à vivre une situation qui provoque du mal-aise en nous ou d’y remédier au plus vite… etc.

Autrement dit :

Notre corps n’est pas indépendant de nous.

Autrement dit il n’y a PAS d’un côté « une entité » et de l’autre « un corps » qui, par exemple, se lèverait le matin en se disant : « Voyons donc ce que je (c’est le corps qui parlerait) vais bien pouvoir créer pour « ennuyer’ mon propriétaire (l’individu) ? ».

Pourtant c’est bien ainsi que nombre de personnes conçoivent et perçoivent leur corps se demandant ce que leur corps leur réserve ou leur réservera comme mauvaises surprises aujourd’hui ou le moment venu.

Pire encore, il y a tellement de gens qui sont convaincus que leur corps leur réserve la maladie et la décrépitude qu’ils se préparent à les vivre et ce alors même que le corps est fondamentalement biologiquement et structurellement conçu pour la santé.

 

Le bien-être, la santé donc comme l’OMS la définit comme un état de bien-être, est une responsabilité personnelle.

Notre bien-être ne dépend ni des personnes avec qui nous vivons, ni de la sécurité sociale, ni du gouvernement, ni de la télévision etc… : la responsabilité de notre bien-être et donc de notre santé est entre nos mains.

Le corps nous envoie en permanence des signaux pour nous indiquer si nous sommes dans le bien-être ou si nous avons quelque chose à corriger dans nos comportements et attitudes

Nous sommes responsables de notre corps.

Les mal-aises de notre corps sont la traduction des malaises que nous expérimentons dans notre vie.

 

Il n’y a pas deux corps identiques, chaque corps est UNIQUE. (L’ADN, notre empreinte génétique en quelque sorte, est l’illustration du caractère unique de chaque corps et par là de chaque individu).

En fait notre corps EST le meilleur guide et conseiller que nous puissions avoir pour notre vie.

Retrouver sa santé, notre corps est notre meilleur guide

 

Ainsi la santé (voir définition de l’OMS) devient vraiment la chose la plus simple et la plus naturelle :

  • « Est-ce que je me sens bien ICI et MAINTENANT ? »

– OUI ?

Mon corps CONFIRME que ce que je vis est en HARMONIE avec qui je suis. Je suis dans un contexte de santé et sur le chemin de la santé.

– NON ?

Mon corps M’AVERTIT que ce que je vis n’est PAS en harmonie avec qui je suis. Je suis HORS du bien-être, HORS du chemin de la santé.

Comme mon corps m’appartient, comme il est en ma responsabilité. Il est de ma responsabilité de changer ce que j’ai à changer dans ma vie pour retrouver le bien-être, le chemin de la santé.

En fait, notre corps est biologiquement structurellement conçu pour que nous suivions constamment le chemin de notre bonheur, de notre bien-être et de notre félicité.

 

Il nous faut apprendre ou ré-apprendre à écouter notre corps.

Il nous faut apprendre ou ré-apprendre à faire confiance dans les capacités naturelles innées du corps de nous montrer le bon chemin de NOTRE vie.

Femme joyeuse

Le corps n’est PAS conçu pour la souffrance, dès que le bébé pleure, sa mère va voir ce qu’il se passe a-t-il faim, soif ? sa couche est-elle mouillée ? Comment se fait-il qu’en grandissant on conditionne les enfants et futurs adultes que « souffrir » est nécessaire à avoir des résultats dans sa vie ?

Il est grand temps de se déconditionner de la souffrance.

NON, il n’est PAS nécessaire de « souffrir » pour avoir des résultats.

La souffrance n’est pas plus vraie que le bonheur.

Il est grand temps de se déconditionner aussi de la maladie.

Il est plus que jamais temps de se souvenir que le bien-être et la santé sont les états naturels du corps humain.

Il est grand temps de s’autoriser à choisir le bien-être et le bonheur de vivre.

Cela ne « coûte » pas plus cher.

C’est le bien-être qui apporte de l’abondance, pas le mal-être (au travail, dans ses relations etc..).

C’est pourquoi choisir son bien-être est le meilleur investissement que nous puissions faire dans toute notre vie et durant toute notre vie, en toute situation et en chaque instant.